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Résultats des grands de la technologie
Résultats des grands de la technologie

La Presse

time4 hours ago

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Résultats des grands de la technologie

Les investisseurs se montrent sur leurs gardes à l'approche du 1 er août, date butoir donnée par Donald Trump aux partenaires commerciaux des États-Unis pour parvenir à un accord sur les droits de douane. (Washington) La Bourse de New York a terminé en ordre dispersé mardi, se montrant sur la réserve après de nombreux résultats d'entreprises, et à la veille de la publication des données financières de deux grands noms de la tech, Alphabet (Google) et Tesla. Agence France-Presse Le Dow Jones a pris 0,40 % tandis que l'indice NASDAQ a reculé de 0,39 %. L'indice élargi S&P 500 a lui grappillé 0,06 % et ainsi réalisé un nouveau record en clôture à 6309,62 points. Mardi, nous avons assisté à « un mouvement d'abandon de certaines des valeurs gagnantes » ces dernières semaines « à l'image des grandes valeurs technologiques, au profit de valeurs plus petites », commente auprès de l'AFP Steve Sosnick, d'Interactive Brokers. L'analyste souligne la bonne performance de l'indice Russell 2000, qui réunit 2000 sociétés de taille plus modeste et qui a avancé de 0,79 %. Interrogé par l'AFP, Art Hogan, de B. Riley Wealth Management, pointe pour sa part « quelques prises de bénéfices avant la première publication (financière, NDLR) des 'Sept Magnifiques' », le surnom donné aux grands noms du secteur technologique. Les résultats d'Alphabet (+0,50 % à 192,11 dollars), la maison mère de Google, et de Tesla (+1,10 % à 332,11 dollars) sont attendus mercredi après la clôture de Wall Street. Ces performances financières seront partagées au milieu d'une semaine riche en publications : plus d'une centaine de sociétés composant l'indice S&P 500 doivent y publier leurs résultats. « C'est une saison des bénéfices difficile où les attentes sont très faibles mais où les prix des actions sont déjà très élevés » alors que la place américaine multiplie les records depuis fin juin, juge Art Hogan. Les investisseurs se montrent aussi sur leurs gardes à l'approche du 1er août, date butoir donnée par le président américain Donald Trump aux partenaires commerciaux des États-Unis pour parvenir à un accord sur les droits de douane. Jusqu'à présent, seuls quatre accords ont été annoncés par Washington, le dernier avec les Philippines mardi, ainsi qu'un accord de désescalade avec la Chine, après une montée des tensions commerciales entre les deux premières puissances mondiales dans la foulée de l'annonce des droits de douane « réciproques ». Sur le marché obligataire, le rendement de l'emprunt à dix ans se détendait, à 4,34 % vers 16 h 20 (heure de l'Est) contre 4,38 % à la clôture lundi. Au tableau des valeurs, le constructeur automobile américain General Motors a calé (-8,12 % à 48,89 dollars) malgré un deuxième trimestre dépassant les attentes des analystes. Entre avril et juin, le géant de Detroit a dégagé un chiffre d'affaires de 47,12 milliards de dollars (-1,8 %) et un bénéfice net de 1,89 milliard (-35,4 %). Le groupe a estimé l'impact net des droits de douane sur ce trimestre à 1,1 milliard de dollars, et confirmé un impact brut autour de 4 à 5 milliards de dollars pour l'ensemble de l'année. Microsoft (-0,94 % à 505,27 dollars) a lâché du lest après avoir révélé que plusieurs groupes de pirates chinois ont exploité une faille de sécurité de son logiciel de gestion de serveurs SharePoint. Le groupe de défense américain Lockheed Martin a nettement glissé (-10,81 % à 410,74 dollars) après une dégringolade de son bénéfice net au deuxième trimestre, plombé par des charges exceptionnelles d'environ 1,7 milliard de dollars. Sur un an, son bénéfice net a reculé de près de 80 %, à 342 millions de dollars américains contre 1,6 milliard au même trimestre l'année passée. Le géant américain Coca-Cola a perdu du terrain (-0,59 % à 69,66 dollars) à la suite de résultats mitigés, notamment un chiffre d'affaires en deçà des attentes. Le groupe a par ailleurs confirmé la commercialisation « à l'automne » aux États-Unis d'une version au sucre de canne de son célèbre soda.

Wall Street prudente avant les résultats de grands noms de la tech
Wall Street prudente avant les résultats de grands noms de la tech

Le Figaro

time5 hours ago

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Wall Street prudente avant les résultats de grands noms de la tech

La Bourse de New York a terminé en ordre dispersé mardi, se montrant sur la réserve après de nombreux résultats d'entreprises, et à la veille de la publication des données financières de deux grands noms de la tech, Alphabet (Google) et Tesla. Le Dow Jones a pris 0,40% tandis que l'indice Nasdaq a reculé de 0,39%. L'indice élargi a lui grappillé 0,06% et ainsi réalisé un nouveau record en clôture à 6.309,62 points.

La directrice de l'information de NPR démissionne
La directrice de l'information de NPR démissionne

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time6 hours ago

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La directrice de l'information de NPR démissionne

(New York) La directrice de l'information de la radio publique américaine NPR a annoncé mardi son départ à la fin de l'année dans un contexte de pression sur l'audiovisuel public par l'administration Trump qui l'a privé récemment de millions de dollars en fonds. Agence France-Presse Dans un courriel envoyé mardi aux employés et consulté par l'AFP, la présidente exécutive de NPR (National public radio) Katherine Maher a indiqué que la directrice de l'information Edith Chaplin l'avait informée, « deux semaines » avant un vote du Congrès sur le définancement de la chaîne, de sa volonté de partir. Sous l'impulsion du président républicain, le Congrès a approuvé la semaine dernière la suppression de 1,1 milliard de dollars en financements déjà alloués pour les deux prochaines années à la Corporation for Public Broadcasting (CPB). Créée en 1967 par le président Lyndon Johnson, cette organisation finance une part minoritaire des budgets des médias nationaux NPR et PBS. Mais aussi, et de manière plus importante, quelque 1500 radios et télés locales partenaires qui diffusent une partie de leurs contenus, de New York à l'Alaska. Dans son courriel, Mme Maher a salué la « force de caractère inébranlable » d'Edith Chaplin et cité des extraits d'un message que celle-ci avait écrit et dans lequel elle affirme « vouloir faire une pause » tout en se disant « confiante en la force et l'intégrité de la rédaction de NPR pour la suite des choses ». À titre de directrice de l'information, Edith Chaplin avait notamment dû gérer la crise interne ces derniers mois liée à la publication d'un article accusant la chaîne d'avoir un biais progressiste, ce qui lui aurait fait perdre la « confiance » d'Américains plus conservateurs. Ce départ intervient dans un contexte où l'administration cherche à couper les dépenses au sein de l'audiovisuel public extérieur des États-Unis, avec ses radios Voice of America, Radio Free Asia et Radio Free Europe/Radio Liberty. Depuis son retour à la Maison-Blanche, Donald Trump s'est imposé comme « l'un des plus puissants défenseurs » d'un mouvement mondial hostile aux médias d'information, soulignait la semaine dernière l'organisation Reporters sans frontières (RSF).

Universal Music pourrait être bientôt coté à Wall Street
Universal Music pourrait être bientôt coté à Wall Street

Le Figaro

time7 hours ago

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Universal Music pourrait être bientôt coté à Wall Street

La plus puissante major de l'industrie musicale est aujourd'hui valorisée 50 milliards d'euros. Après Amsterdam, aux Pays-Bas, direction Wall Street, à New York. Universal Music Group (UMG), la plus puissante major de l'industrie musicale, vient de déposer auprès du gendarme boursier américain, la Securities and Exchange Commission, une demande d'introduction en Bourse. La maison d'artistes tels que Taylor Swift, Drake, Lady Gaga ou les Beatles n'a pas précisé le nombre d'actions qui seront émises ni leur prix de vente initial, si elle obtient le feu vert. Déjà coté depuis 2021 à la Bourse d'Amsterdam, où il est valorisé près de 50 milliards d'euros, UMG est l'ancien joyau de la couronne de Vivendi, qui détient toujours 10 % du capital. L'arrivée d'UMG à New York est liée à un accord conclu en janvier avec l'un de ses principaux actionnaires, le fonds d'investissement Pershing Square, propriété du milliardaire américain Bill Ackman. Cette double cotation pourrait permettre à la major d'améliorer sa valorisation, alors que Wall Street profite d'un fort rebond. Publicité Un autre dossier va aussi occuper UMG. La Commission européenne a en effet annoncé mardi ouvrir une enquête sur son projet de rachat de Downtown, le gestionnaire de droits musicaux. Dans un communiqué, l'exécutif européen, chargé de faire respecter la libre concurrence dans l'UE, dit s'inquiéter de possibles abus de position dominante d'UMG sur certains marchés à la suite de cette acquisition, estimée à 775 millions de dollars.

Qui est Lara Trump, la belle-fille de Donald Trump qui prépare une chanson improbable avec Gims ?
Qui est Lara Trump, la belle-fille de Donald Trump qui prépare une chanson improbable avec Gims ?

Le Figaro

time14 hours ago

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Qui est Lara Trump, la belle-fille de Donald Trump qui prépare une chanson improbable avec Gims ?

Blonde, musclée, d'une fidélité à toute épreuve, animatrice sur Fox News et ex-coprésidente du parti républicain, Lara Trump s'apprête à sortir un duo improbable avec le rappeur français Gims. C'est la collaboration que personne n'avait vu venir. Gims, monument du rap francophone, et Lara Trump, belle-fille du président américain, préparent un morceau commun. Le producteur du chanteur français Liil Serge Mbeutcha vient de confirmer le projet avec l'éditorialiste pro MAGA («Make America Great Again») reconvertie en chanteuse de country. Un featuring pour le moins inattendu, prévu pour septembre, qui illustre parfaitement le parcours atypique de l'Américaine de 42 ans. Car Lara Trump ne fait jamais dans la demi-mesure. Une rencontre new-yorkaise Eric et Lara Trump lors d'un événement dans le bureau ovale de la Maison Blanche donné par le président Donald Trump en hommage aux forces de l'ordre décédés. (Washington, le 19 mai 2025.) ABACA Née le 12 octobre 1982 à Wrightsville Beach en Caroline du Nord, Lara Yunaska - de son nom de jeune fille - grandit dans «une famille américaine tout à fait normale». Diplômée en communication puis en pâtisserie à l'Institut français de cuisine de New York, elle devient coach sportive avant de croiser la route d'Eric Trump en 2008 lors d'une soirée entre amis. «Nous étions probablement les deux personnes les plus grandes de la pièce», plaisante-t-elle sur Fox News. Le couple attend trois mois avant son premier rendez-vous. À l'époque, elle est intimidée à l'idée de rencontrer Donald, Ivana et Ivanka Trump. Rencontre qui a dû se passer pour le mieux, puisque le mariage a lieu en 2014 à Mar-a-Lago. Publicité Donald Trump Jr. y officie comme témoin et Ivanka Trump comme demoiselle d'honneur. Jared Kushner, lui, préside la cérémonie. «Tu viens non seulement d'entrer dans la famille, mais aussi d'hériter de ses 6 millions d'abonnés», plaisante Donald Trump Jr. à l'issue de l'événement. Prophétique. La politique, une affaire de famille Mère de deux enfants (Eric «Luke» né en 2017 et Carolina Dorothy née en 2019), Lara Trump cultive d'année en année son image de wonder woman républicaine. Productrice pour le magazine télévisé «Inside Edition» de 2012 à 2016, elle plaque tout pour soutenir la première campagne présidentielle de son beau-père. Souvent aperçue aux côtés de Donald Trump durant ses meetings de campagne, elle devient alors l'un de ses jokers, notamment pour certains événements organisés en Caroline du Nord. Lara Trump ne s'en cache pas, elle croit dur comme fer à l'impact positif de la présidence Trump. «Je pense qu'au final, mon beau-père va changer les États-Unis pour le meilleur, rendre sa fierté à notre pays et devenir l'un des plus grands présidents de l'histoire», confie-t-elle au magazine Hello! dès mars 2017. Donald Trump, sa belle-fille Lara Trump et sa petite-fille Carolina lors de la Convention nationale républicaine. (Milwaukee, le 18 juillet 2024.) ABACA Donald Trump est alors à peine installé à la Maison-Blanche. Mais déjà l'épouse d'Eric Trump se voit désigner conseillère principale du comité de réélection du président américain. Elle y officie comme consultante pour les questions «digitales», les «collectes de fonds» et la partie «commercialisation» de la campagne. Elle supervise également une tournée au nom de Donald Trump et Mike Pence, centrée sur l'empowerment des femmes. 180.000 dollars l'année L'engagement de Lara Trump s'étend jusque sur les réseaux sociaux. En 2020, dans la dernière ligne droite de la présidentielle américaine, elle y retweete les posts de son époux sur la sénilité présumée de Joe Biden, encourage ses concitoyens à voter et défend le travail de Jared Kushner - l'époux d'Ivanka Trump - en faveur de la paix au Moyen-Orient. Elle officie également dans des vidéos Facebook et sur le podcast Real News Update, où elle vante en personne les mérites du son cher beau-père. «Je parie que vous n'avez pas entendu parler de tout ce qu'il a accompli cette semaine, à cause de toutes ces fake news», y déclare-t-elle sur un ton faussement enjoué. Atout non négligeable de l'ancien président, Lara Trump aurait empoché chaque année 180.000 dollars (environ 154.000 euros). Après l'échec de Donald Trump à la présidentielle de 2020, Lara ne baisse pas les bras. Loin de là. En mars 2024, elle devient coprésidente du Comité national républicain (RNC), un poste qu'elle occupe jusqu'en décembre. En parallèle, elle devient éditorialiste pour Fox News. Publicité Du Sénat à Fox News Fin 2024, plusieurs alliés de Trump - dont Elon Musk et sa mère Maye - font campagne pour qu'elle obtienne le siège de sénateur de Marco Rubio en Floride. «C'est quelque chose que j'envisage sérieusement», déclare-t-elle alors à l'Associated Press. Mais le 21 décembre, coup de théâtre : elle se retire de la course. «J'ai une grande annonce à faire en janvier», écrit-elle sur X. Cette annonce ? Le lancement de son émission hebdomadaire sur Fox News : «My View with Lara Trump». Ses débuts ont lieu le samedi 22 février à 21 heures et il s'agit là d'une grande première pour un membre de la famille présidentielle en exercice d'animer sur une grande chaîne nationale. Suzanne Scott, PDG de Fox News Media, défend ce choix dans un communiqué cité par le New York Magazine : «Communicatrice douée qui sait parler aux téléspectateurs, entrepreneuse à succès et mère qui travaille…La compréhension innée de Lara du public américain et du paysage politique actuel sera un ajout convaincant à notre programmation du week-end.» La chaîne conservatrice ne cache plus son parti pris pro-Trump. Et Lara Trump, avec son sourire Colgate et ses vidéos d'entraînement où elle soulève 70 kilos, incarne parfaitement cette Amérique MAGA. Des polémiques et une collaboration avec Gims Mais Lara Trump n'est pas exempte de polémiques. En 2017, elle propulse son frère au ministère de l'Énergie sans aucune compétence. En 2019, elle critique la politique migratoire d'Angela Merkel, qualifiant l'accueil des réfugiés de «l'une des pires choses arrivées à l'Allemagne». Un an plus tard, elle crée le scandale en s'affichant à Boca Raton, en Floride, aux côtés de Laura Loomer, une activiste d'extrême droite qui se décrit comme «islamophobe et fière de l'être». Une controverse de plus. Pour autant, rien n'arrête la belle-sœur déterminée d'Ivanka Trump qui a lancé en novembre sa ligne de vêtements de sport, la «LT Brand». Au menu ? Des collections aux noms sans équivoque : «MAGA Red», «No days off» (comprenez, «sans jour de congé»), «America»... Lara Trump dans une tenue de sa collection «MAGA RED». Capture d'écran Instagram / @laratrumpcollection Publicité Sa dernière collaboration musicale avec Gims n'est finalement qu'une énième provocation. Ou peut-être une tentative de séduction de l'électorat afro-américain et des jeunes. Dans tous les cas, Lara Trump prouve qu'elle surfe sur toutes les vagues. Même les plus improbables.

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